Méditation de Pleine Conscience en groupe

Chaque mercredi à 18h30, méditation en groupe en ligne
Vous avez des questions, écrivez-moi ou téléphonez-moi

La Pleine Conscience ou Mindfulness

Pourquoi pratiquer la Pleine Conscience ? 
Selon Christophe André, la Pleine Conscience est un outil doux et puissant de changement personnel.
La pratique quotidienne de la méditation de Pleine Conscience (ou Mindfulness) peut avoir un impact profond sur votre santé, votre bien-être, vos relations et de nombreux aspects de votre vie. 

• Adopter des habitudes saines avec une pratique régulière de pleine conscience,
• Booster votre bien-être en renouant avec ce qui compte le plus ,
• Renforcer la résilience en cultivant la réceptivité et l'ouverture ,
• Découvrir votre puissance intérieure et vous connecter à votre objectif,
• Profiter de plus de calme, de compassion et de joie en recâblant votre cerveau.

D'autres séances en groupe ont lieu par zoom, Contactez-moi pour connaître le calendrier.
- Les ateliers de pleine conscience : Des soirées et des journées sont proposées, pour décrypter les méandres de l’esprit et commencer à l’apprivoiser , cet esprit humain, souvent qualifié d’ « esprit simiesque », qui tel le singe ne reste jamais en place. Les soirées seront une introduction aux journées qui se déploieront sur le même thème en l’approfondissant par la pratique. Il est cependant possible de s’inscrire indépendamment à chacune des sessions.
« Fondements de l’établissement de la Pleine Conscience » au cœur des programmes Basés sur la Pleine Conscience. Il s’adresse à toute personne qui souhaite intégrer la Pleine Conscience dans la vie quotidienne.
La Pleine Conscience/Mindfulness est avant tout une qualité naturelle de l’esprit permettant de s’établir dans la conscience de l’instant présent, instant après instant. Mais cette disposition de l’esprit demande à être cultivée afin qu’une qualité de présence attentive puisse se maintenir au fil de nos expériences. Cela s’effectue grâce à un travail soutenu de l’attention avec des méditations appropriées qui développent le calme mental, la concentration, le discernement et la réceptivité.  
Cet entraînement de l’attention a été codifié dans un enseignement de la psychologie Bouddhiste qui constitue un chemin d’exploration de l’expérience humaine, à partir de quatre domaines d’investigation sous le nom des « Quatre Fondements de l’établissement de la Pleine Conscience » ou encore « Quatre placements de l’attention »
La Pleine Conscience du corps 
La Pleine Conscience des tonalités de ressenti
La Pleine Conscience des états mentaux : Pensées/émotions
La Pleine conscience des phénomènes/de la nature de la réalité
La Pleine conscience du corps ou « conscience incarnée » nous donne un ancrage somatique dans l’ici et maintenant permettant de procéder aux autres investigations et elle est abordée dans différentes sections.
Cet atelier se déroulera en ligne sur 3 sessions de 2h essentiellement centrées sur la pratique, avec des temps d’échanges et en maintenant la présence physique du corps ressenti lors des pauses, entre les sessions, profitant de l’opportunité que nous donne le format en ligne de nous établir dans la pratique informelle, au sein de notre environnement de vie. 
L’établissement de la Pleine Conscience du corps pourra continuer d’être exploré lors de sessions ultérieures…Ainsi que les 3 autres investigations, en sachant qu’il ne s’agit là que d’effleurer des pratiques qui demandent d’appliquer avec diligence et patience la Pleine Conscience tout au long de sa vie.

La méditation pleine conscience permet de développer nos capacités de résilience.

Qu’est-ce que la pleine conscience ?
Jon Kabat-Zinn a élaboré sa méthode en se basant sur des pratiques méditatives ancestrales. Les grands enseignants bouddhistes disent de la pleine conscience qu’elle est une qualité humaine fondamentale. Nous avons en principe tous accès à une claire conscience de tous les instants, seulement, notre rythme de vie ne nous permet pas toujours de la cultiver de manière à prêter une attention particulière à l’instant présent. La pleine conscience est donc une qualité innée de l’esprit, mais elle doit être cultivée et affûtée par celui qui souhaite en tirer des bénéfices.
C’est donc grâce à la pratique (méditative) quotidienne que l’on peut maintenir un état de pleine conscience et voir ainsi plus clairement les causes de sa propre souffrance. Cette méthode favorise la compréhension de la réactivité, elle permet de prendre pleinement conscience de l’attachement et des désirs qui ont tendance à nous faire agir de façon irréfléchie, souvent sous l’influence de nos exigences égocentrées. Il est nécessaire de développer les qualités intrinsèques que nous possédons tous pour se reconnecter à notre vrai moi !

Selon Christophe André, Jon Kabat-Zinn est celui qui a permis à des pratiques méditatives pluri-millénaires utilisées dans le champ de la spiritualité et du développement personnel de rentrer dans le champ de la psychologie scientifique. En codifiant et en adaptant ces approches méditatives, Jon Kabat-Zinn a permis leur évaluation dans le cadre d’une démarche scientifique. 

La démarche scientifique sur les bienfaits de la Pleine Conscience avance dans tous les pays du monde grâce, notamment à l'imagerie médicale qui permet d'analyser le fonctionnement du cerveau.

Vous pouvez lire les références scientifiques sur la page du site "Comment fonctionne la Mindfulness"

Que dit Tara Brach dans son livre sur l'acceptation radicale : "LE CONTRAIRE DE L’ACCEPTATION Lorsque le réel nous heurte, nous déplaît ou nous fait souffrir, nous avons envie de le combattre, d’adopter des postures de refus, de révolte, de combat : « Non, ce n’est pas possible, ça ne peut pas se passer comme ça ! » Ces attitudes sont quelquefois légitimes, nous le verrons. Elles sont aussi souvent valorisées de nos jours : on encourage à « se battre contre la maladie », à « se révolter contre les inégalités ». Ne pas accepter le réel ressemble souvent, de loin, à une posture noble, jeune, romantique. Mais de près, mais au quotidien ? Que se passe-t-il lorsqu’on refuse d’accepter le monde tel qu’il est ? Lorsqu’on veut « se battre » pour qu’il devienne comme on le veut ? Que se passe-t-il lorsqu’on ne veut pas accepter qu’il pleuve alors que nous espérions le beau temps ? Que se passe-t-il lorsqu’on ne veut pas accepter nos maladies, nos handicaps, notre vieillissement alors que nous espérions rester toujours en bonne santé ? Que se passe-t-il lorsqu’on ne veut pas entendre les désaccords alors que nous espérions que nos interlocuteurs se rangeraient à notre opinion ? Dans tous ces cas, le contraire de l’acceptation nous conduira à la colère, au conflit, à l’énervement, à l’épuisement. Ce sera presque toujours inutile : la colère n’a jamais fait revenir le beau temps, facilité une guérison ou convaincu un interlocuteur. Le monde ne se plie pas à nos désirs. Même si parfois nous pouvons le regretter. Refuser le réel est presque toujours toxique, et provoque une dose supplémentaire de souffrance qui est une double peine : la souffrance du réel qui nous heurte, et la souffrance que nous nous infligeons en ne l’acceptant pas.
« MAIS TOUT DE MÊME, ON NE PEUT PAS TOUT ACCEPTER ? LA VIOLENCE, L’INJUSTICE, LA GUERRE, LA TORTURE ? » Si vous vous posez cette question, peut-être faut-il alors réfléchir aux mots, à la terminologie : comme l’écrivait Camus, « mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ». Que veut dire, dans le monde de la psychologie, « accepter » ? Étymologiquement, « accepter » vient du latin accipere : recevoir, accueillir. C’est clair : accepter ne signifie pas se réjouir de tout ce qui arrive, ou l’approuver. Accepter un orage, une maladie, une adversité quelconque, ce n’est pas dire ou penser « bravo, c’est très bien comme ça ». Accepter, ce n’est pas dire « c’est bien », mais « c’est là ». Ce n’est pas, par exemple, souhaiter que l’injustice ou la violence existent, ou s’en réjouir, mais les regarder en face, constater leur existence, chercher à comprendre leurs rouages. De même, acceptation ne signifie pas passivité ou résignation, ne signifie pas renoncement à l’action : simplement, on accepte que le réel soit le réel, on prend le temps de l’observer, d’observer son impact sur nous, de réfléchir. Au lieu de réagir impulsivement, régi par nos réflexes, notre tempérament, notre passé, on prend le temps de répondre : l’acceptation donne force, calme, lucidité et discernement. Du moins cette acceptation que nous pourrions appeler « active », celle qui est un choix délibéré, et non un masque de notre impuissance. Enfin, l’acceptation est un préalable : un préalable à toute forme d’action lucide et efficace, la première étape d’un processus parfois long et complexe d’insertion dans le réel et d’action sur lui. En commençant par accepter, nous nous posons une série de questions : que se passe-t-il ? que suis-je en train de ressentir à propos de cela ? qu’ai-je envie de faire spontanément ? est-ce une bonne idée ? que puis-je faire d’autre, de mieux ? etc.
POURQUOI EST-CE SI DIFFICILE D’ACCEPTER ? De nombreuses raisons sont à la source de nos difficultés à accepter. Cela peut être par réflexe : en général, nous avons du mal à accepter ce qui représente une souffrance pour nous. Face à la souffrance, nous avons tendance à nous raidir : s’il s’agit de souffrance physique, on bloque sa respiration et on contracte ses muscles (vous vous souvenez de votre dernière séance chez le dentiste ?) ; s’il s’agit de souffrance psychique, on raidit sa volonté. Tout cela est bien sûr inutile. Comme le note Simone Weil, « la volonté n’a de prise que sur quelques mouvements de quelques muscles, associés à la représentation du déplacement des objets proches […]. Quoi de plus sot que de raidir les muscles et serrer les mâchoires à propos de vertu, ou de poésie, ou de la solution d’un problème ?» Nos difficultés à accepter peuvent aussi relever d’un style de vie : quand on est stressé et pressé, tout contretemps devient obstacle, tout ennui devient scandale, toute contradiction devient agression… On accepte mieux les blessures et limitations que nous inflige la réalité si on est heureux et paisible que si on est déjà stressé et malheureux. Stress et tensions fabriquent de l’intolérance à la frustration. Enfin, on peut avoir du mal à accepter par habitude et par culture : en Occident, rien ne doit résister à des citoyens devenus des consommateurs de droits, qui ne veulent plus jamais attendre, et qui exigent que tout problème ait une solution. Absurde, bien sûr : le monde et la vie ne sont pas taillés sur mesure pour se plier à nos impatiences et à nos prétentions. C’est à nous de commencer par nous adapter à la marche du monde, et non l’inverse ; et ce n’est qu’une fois que nous aurons accepté que nous pourrons comprendre si nous pouvons y changer quelque chose, et comment le faire. Mais le livre que vous tenez entre les mains nous rappelle une chose essentielle : l’acceptation ne concerne pas que le monde extérieur, elle commence par nous-même. ...."

Tous les mercredis à 17h45, séance en ligne sur ZOOM. Je vous envoie un lien sur demande

Sophrologie Relaxation Pleine Conscience Méditation

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